sábado, julio 31, 2010

peña eva,poesia, eva peña,cuenca

Dye the green color
with sparkles of fire
and I’ll write the darkest words in my soul

Make the sounds burn the air
and I’ll breath your essence forevermore

Cast the spell in your fingers

Make the blue die red

Slay the dreams of the living
and wake the lust of Samael

Dye the green color
with the blaze of the dragon
for I am lost in a black and white maze

Cast the spell from your fingers
so I can drift away

jueves, julio 29, 2010

peña eva,poesia, eva peña,cuenca

Petite oiseau de feu
es que tu ne sens pas
comment ta éclat brûle?

comme l’étoile noire
dévore la lumière cosmique

comme tes yeux pervers
brisent la fragilité du sommeil

Il n’y a pas des illusions
dans cet espace mort

Il ya seulement du la magique
dans tes lèvres froides

ne laissez pas ta lumière mourir
dans le effroyable cœur des ténèbres

ne oublie pas de sourire
derrière le lapin que tu te caches

Petite oiseau de feu
es que tu ne sens pas
comment tes flammes brûle?

miércoles, julio 21, 2010


peña eva,poesia, eva peña,cuenca

Il y a un jardin dans votre peau
où les plus letales fleurs se poussent
ils déchirent votre rêves
comme le aube au doux silence de l’ombre

avec leurs épines ils taille
les plus étrange cauchemars
avec leurs pétales ils ouvrent
la porte du le pays des merveilles

mais vous n’êtes pas Alice
même si un lapin blanc saute sur votre lit

mais je n’ai pas une sortilège
pour vous faire sourire

Il y a une rose dans votre âme
où les plus chimérique délires sont né
ils évanouit des illusions du le fantasmagorique chapelier
qui a perdu son chapeau dans le jardin

Il y a une rose dans votre âme
et un lapin sur votre lit …

martes, julio 20, 2010

peña eva,poesia, eva peña,cuenca
El blanco cisne
lentamente se pudre en el pantano
sus blancas alas teñidas de marrón
yacen tranquilas, traviesas
sobre los restos de la primavera

Su cándido pecho
tiernamente arrulla las larvas
que reposan lozanas, serenas
sobre tan dulce litera


Sus radiantes ojos
hoy dos vacías cuencas
reflejan la extraña sonrisa del vampiro
que contempla enajenado
la aurora desgarrar su piel

El blanco cisne
aun se pudre, lentamente ...